Une surface d'adhérence
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IMPORTANTE
pour plus de performance
Les MYCOTOXINES sont des toxines naturelles produites par des moisissures. Elles se présentent sous forme de petites molécules non protéiques issues du métabolisme secondaire des moisissures. Elles exercent un pouvoir toxique réel sur l’humain.
Comme leur nom l’indique, ces mycotoxines se développent à partir de champignons appartenant au genre FUSARIUM. Environ 30 métabolites secondaires (sur plus de 300) présentent des caractéristiques toxiques préoccupantes.
La contamination en déoxynivalenol (DON = mycotoxine du champs) sur blé est multifactorielle, ce qui engendre différents moyens de lutte.
Les MYCOTOXINES du champ sont :
Les Trichothécènes dont le déoxynivalénol (DON)
La Zéaralénone
Les fumonisines
Les fusarioses développées au champs ne disparaissent pas au cours de la conservation.
Une MYCOTOXINE peut être produite par différents champignons et un champignon peut produire différentes MYCOTOXINES.
Une MYCOTOXINE peut être produite par différents champignons
Le niveau visible d’attaque des épis par la fusariose n’est pas obligatoirement corrélé avec le niveau de contamination par les MYCOTOXINES.
L’intensité de la mycotoxinogénèse varie fortement dans le temps et dans l’espace (interactions multiples entre génétique et conditions agro-environnementales).
Il est dès lors impératif de les limiter car les conséquences sur la mise en marché des céréales à destination de l’alimentation humaine seraient désastreuses pour les collecteurs :
UN LOT > NORMES - consÉquences
Refus de la marchandise et disqualification de la collecte
Dépréciation du lot
Perte du C.A.Une nouvelle règlementation européenne a donc fixé un seuil maximal de MYCOTOXINES à la récolte céréales destinée à l’alimentation humaine.
Les seuils de MYCOTOXINES (DON) sont fixés à :
|
1250 ppb BLE TENDRE |
1750 ppb BLE DUR |
Malgré tout, en conditions très favorables, les pratiques agronomiques précitées peuvent atteindre leur limite. Le dernier recours est la lutte chimique.
Deux familles chimiques se distinguent :
Les Strobilurines pour les interventions précoces (stade F1 déployée)
Les Triazoles (tébuconazole) à la floraisonMalgré tout, il est recommandé d’effectuer le traitement à la floraison, à pleine dose car on est loin d’avoir une efficacité totale. Ce manque d’efficacité est dû à la barrière physique que représente la cible : l’épi (absence de mouillabilité, barbes...).
La difficulté rencontrée par les applicateurs est bien de mettre en contact le fongicide avec le champignon, ce dernier se trouvant préférentiellement au cœur de l’épi, c’est-à-dire au niveau du rachis.
Les très nombreuses expérimentations n’ont jamais véritablement permis de montrer un gain d’efficacité par l’augmentation des volumes de bouillie (capacité de rétention de l’épi limitée).
En fait, que va chercher à faire l’agriculteur ?
Il va faire en sorte que LE MAXIMUM DE GOUTTELETTES contenant le FONGICIDE ARRIVE SUR LE CHAMPIGNON à détruire.
Il n’existe actuellement sur le marché que 2 adjuvants capables d’apporter cette fonctionnalité essentielle.
À aujourd’hui, un seul des deux possède l’homologation sur le créneau des FONGICIDES :
ADJUVANT SUPER MOUILLANT
Améliore le niveau d’efficacité : le produit phytosanitaire est mieux réparti, mieux assimilé, plus persistant.
Moindre dépendance / conditions climatiques : protège la matière active du lessivage.
N’a pas besoin de modifier ses volumes de bouillie : meilleure surface couverte pour un même volume.
Meilleure valorisation de sa récolte : améliore sa marge et donc son revenu.
Améliore l’efficacité contre les fusarioses et les mycotoxines grâce à un plus grand étalement des gouttelettes de pulvérisation.
Améliore la qualité du produit brut et le rendement.
Meilleure marge pour l’agriculteur.
Crédibilise le message technique.
Apporte de la valeur ajoutée à la collecte.La règlementation est de plus en plus exigeante mais elle participe à une meilleure maîtrise de la sécurité sanitaire et donc alimentaire.
Des solutions existent et c’est la conjonction de l’ensemble de ces solutions qui vous mettra à l’abri d’une disqualification d’un ou plusieurs lots.
STICMAN fait partie de ces solutions et participe à juste titre à l’amélioration de la qualité technologique et sanitaire des productions végétales (cf. synthèse d’essais).
C’est actuellement l’assurance la plus FIABLE pour solutionner les situations mal ou insuffisamment maîtrisées par les traitements fongicides.