Sticman

Une surface d'adhérence
15 FOIS PLUS
IMPORTANTE

pour plus de performance

La Fusariose et mycotoxines


DEFINITION

Mycotoxines des champs : Fusariotoxines


Les MYCOTOXINES sont des toxines naturelles produites par des moisissures. Elles se présentent sous forme de petites molécules non protéiques issues du métabolisme secondaire des moisissures. Elles exercent un pouvoir toxique réel sur l’humain.


Comme leur nom l’indique, ces mycotoxines se développent à partir de champignons appartenant au genre FUSARIUM. Environ 30 métabolites secondaires (sur plus de 300) présentent des caractéristiques toxiques préoccupantes.


La contamination en déoxynivalenol (DON = mycotoxine du champs) sur blé est multifactorielle, ce qui engendre différents moyens de lutte.


Les MYCOTOXINES du champ sont :


Ce qu’il faut savoir :


Les Mycotoxines


LIMITER LES DON


Il est dès lors impératif de les limiter car les conséquences sur la mise en marché des céréales à destination de l’alimentation humaine seraient désastreuses pour les collecteurs :


UN LOT > NORMES - consÉquences


Une nouvelle règlementation européenne a donc fixé un seuil maximal de MYCOTOXINES à la récolte céréales destinée à l’alimentation humaine.


Les seuils de MYCOTOXINES (DON) sont fixés à :

1250 ppb
BLE TENDRE
1750 ppb
BLE DUR

MOYENS DE LUTTE

Pratiques agronomiques


ROTATION CULTURES
- Éviter certains précédents
(maïs, sorgho)
BROYAGE
ET ENFOUISSEMENT
DES RESIDUS
PREPARATION DU SOL
- Éviter les préparations de sols
superficielles
DENSITES
- Éviter les trop fortes densités
ARROSAGE
- Éviter les arrosages en pleine
floraison
ETALER LES SEMIS
SEMER DIFFERENTES VARIETES

(les plus tolérantes)

Malgré tout, en conditions très favorables, les pratiques agronomiques précitées peuvent atteindre leur limite. Le dernier recours est la lutte chimique.

La lutte chimique


Deux familles chimiques se distinguent :


Malgré tout, il est recommandé d’effectuer le traitement à la floraison, à pleine dose car on est loin d’avoir une efficacité totale. Ce manque d’efficacité est dû à la barrière physique que représente la cible : l’épi (absence de mouillabilité, barbes...).


La difficulté rencontrée par les applicateurs est bien de mettre en contact le fongicide avec le champignon, ce dernier se trouvant préférentiellement au cœur de l’épi, c’est-à-dire au niveau du rachis.


Les très nombreuses expérimentations n’ont jamais véritablement permis de montrer un gain d’efficacité par l’augmentation des volumes de bouillie (capacité de rétention de l’épi limitée).

La solution


En fait, que va chercher à faire l’agriculteur ?

Il va faire en sorte que LE MAXIMUM DE GOUTTELETTES contenant le FONGICIDE ARRIVE SUR LE CHAMPIGNON à détruire.


Il n’existe actuellement sur le marché que 2 adjuvants capables d’apporter cette fonctionnalité essentielle.


À aujourd’hui, un seul des deux possède l’homologation sur le créneau des FONGICIDES :

Sticman

ADJUVANT SUPER MOUILLANT

Avantages agriculteurs - argumentaire



CONCLUSION


La règlementation est de plus en plus exigeante mais elle participe à une meilleure maîtrise de la sécurité sanitaire et donc alimentaire.

Des solutions existent et c’est la conjonction de l’ensemble de ces solutions qui vous mettra à l’abri d’une disqualification d’un ou plusieurs lots.

STICMAN fait partie de ces solutions et participe à juste titre à l’amélioration de la qualité technologique et sanitaire des productions végétales (cf. synthèse d’essais).


C’est actuellement l’assurance la plus FIABLE pour solutionner les situations mal ou insuffisamment maîtrisées par les traitements fongicides.



Haut de page